Quantcast
Channel: façade – Paris, Maman & Moi
Viewing all 36 articles
Browse latest View live

Une Serrurerie abandonnée et grillagée


L’Ange qui domine la rue de Turbigo

0
0

Corps de pierre mais gueule d’ange… Voilà comment je décrirais la façade du 57 rue de Turbigo (75003) et son ange monumental. J’ai trouvé des explications sur son origine dans le livre de Rodolphe TrouilleuxParis Secret et Insolite (une bible pour les amoureux de Paris).

Cette cariatide, la plus grande de Paris, a pour vocation de donner une image de générosité à cette rue commerçante. Avec sa petite bourse qu’elle tient dans la main droite, elle incarne la Charité, prête à donner aux pauvres. Son créateur, Auguste Emile Delange, l’imagine en 1851 lors d’un concours aux Beaux-Arts dont le thème est de proposer un phare en hommage au physicien Fresnel, inventeur de la lentille à échelons. Huit ans plus tard, il reprend son idée de femme géante lorsqu’il construit cet immeuble.

Ange au 57 Rue de Turbigo (1)

Ange au 57 Rue de Turbigo (1)

Ange au 57 Rue de Turbigo (1)


Classé dans:Paris, la belle Tagged: ange, Auguste Emile Delange, cariatide, façade, géant, immeuble, Turbigo

Palette de façades colorées rue des Artistes

Un éléphant, ça trompe même un parisien

0
0

Petit, grand, sculptés, gravés, en pierre, en couleur… Les éléphants parisiens ornent la capitale sur les murs, sur les places, sur les fontaines et sur les façades. Petit échantillon d’éléphants repérés au cours de promenades parisiennes. Mon préféré ? Celui du Musée d’Orsay !

Boulevard Haussmann

Boulevard Haussmann

Photo ODL


Fontaine Stravinsky

Fontaine Stravinsky

Photo ODL

Musée d’Orsay

Musée d’Orsay

Photo ODL

Palais de Chaillot

Musée d’Orsay

Photo ODL

Passage du Grand Cerf

Passage du Grand Cerf

Photo ODL

Rue Auguste Comte

Rue Auguste Comte

Photo ODL

Rue de la Cossonnerie

Rue de la Cossonnerie

Photo ODL

Rue Pasquier

Rue Pasquier

Photo ODL


Classé dans:Paris, la belle Tagged: éléphant, façade, fontaine, Fontaine Stravinsky, murs, Musée d'Orsay, Palais de Chaillot, Paris, Passage du Grand Cerf

Immeuble violet et jaune… rue Maison Blanche !

La Pharmacie Necker et son charme d’antan

Louxor, Palais du cinéma

0
0

En attendant de découvrir la décoration intérieure et les salles, voici un bref aperçu de la façade rénovée du Louxor, mythique cinéma parisien qui avait fermé ses portes pendant des années. Ainsi paré, il offre un peu de couleur dans la grisaille.

Passez un bon 1er mai.

Le Louxor

Photo : ODL

Le Louxor

Photo : ODL


Classé dans:Paris, la belle Tagged: cinéma, façade, Louxor, Palais du cinéma

Les "chaussures fines" de l’ancienne Maison Pinet

0
0

La prestigieuse maison François Pinet, fondée en 1855, s’installe au 44 rue de Paradis en avril 1864, avec un magasin et un atelier de fabrication de « Chaussures fines cousues pour dames, filles, fillettes et enfants ».

François Pinet lui-même aurait conçu les plans de l’immeuble de la maison Pinet, mais sur le bâtiment actuel il est noté « 1886 Architecte R Gravereaux ».

Les deux cariatides qui ornent le bâtiment sont l’œuvre du sculpteur Léon Perrey, celle de gauche est une allégorie du travail et celle de droite du commerce.

Source : Wikipedia.

Etablissement Pinet rue de Paradis

Etablissement Pinet rue de Paradis

Etablissement Pinet rue de Paradis

Etablissement Pinet rue de Paradis

Etablissement Pinet rue de Paradis

Etablissement Pinet rue de Paradis

Etablissement Pinet rue de Paradis

Etablissement Pinet rue de Paradis


Classé dans:Paris, la belle Tagged: chaussures, façade, François Pinet, Maison Pinet, mosaïque

Rue Pavée, une synagogue Art Nouveau d’Hector Guimard

0
0

La rue Pavée étant particulièrement étroite, cela faisait des années que je m’interdisais de photographier cette magnifique synagogue. En effet, je trouve que je n’ai pas suffisamment de recul pour prendre des photos qui restitueraient la beauté de l’édifice. Et puis n’y tenant plus, j’ai finalement décidé de partager les clichés que j’ai pu réaliser tant bien que mal. J’espère que vous apprécierez. Ou que ces photos vous donneront envie de vous déplacer !

Synagogue Hector Guimard de la rue Pavée

Synagogue Hector Guimard de la rue Pavée

Synagogue Hector Guimard de la rue Pavée

Synagogue Hector Guimard de la rue Pavée

Synagogue Hector Guimard de la rue Pavée

Synagogue Hector Guimard de la rue Pavée

Synagogue Hector Guimard de la rue Pavée

Synagogue Hector Guimard de la rue Pavée

Synagogue Hector Guimard de la rue Pavée

Synagogue Hector Guimard de la rue Pavée

Synagogue Hector Guimard de la rue Pavée

Synagogue Hector Guimard de la rue Pavée

Le bâtiment a été réalisé en 1913 par l’architecte Hector Guimard, le maître parisien de l’Art nouveau, pour Agudas Hakehilos (אֲגֻדָּת־הַקְּהִלּוֹת, Union des communautés), une association issue de neuf sociétés israélites orthodoxes d’origine essentiellement russe, présidée par Joseph Landau. Elle témoigne de l’arrivée massive d’immigrés d’Europe de l’Est au début du xxe siècle. La construction est en pierres agglomérées creuses sur armatures en béton armé. Elle a été officiellement inaugurée le 7 juin 1914, mais elle était déjà en service depuis octobre 1913.

Ne disposant que d’une bande de terrain biaise et très étroite (5 m × 23 m), Guimard a construit le bâtiment tout en hauteur. En façade, la verticalité (12 m) est accentuée par les étroites fenêtres et les pilastres continus. Le volume intérieur est aussi entièrement vertical. Il comporte deux étages de mezzanines de part et d’autre de la travée centrale. La nef est éclairée par des verrières au plafond et une vaste baie vitrée dans le mur du fond.

Source : Synagogue de la rue Pavée


Classé dans:Paris, la belle Tagged: Agoudas Hakehilos, Art Nouveau, façade, Hector Guimard, synagogue

L’immeuble excentrique de la rue Soufflot

0
0

L’immeuble du 3 rue Soufflot ne passe pas inaperçu avec sa façade décorée de statues.

3 rue Soufflot 75005 Paris - Immeuble aux statues

3 rue Soufflot 75005 Paris – Immeuble aux statues

Les "immeubles à statues" me surprennent toujours. Je m’interroge sur les motivations de l’architecte quant à la présence de ces œuvres d’art en façade d’un bâtiment qui, très souvent, tranche avec les bâtiments mitoyens.

D’après mes recherches, le 3 rue Soufflot (75005) date de la période de la Restauration. On observe des niches, rondes ou en arc en plein cintre, décorées par des visages ou des personnages sculptés en pied.

3 rue Soufflot 75005 Paris - Immeuble aux statues

3 rue Soufflot 75005 Paris – Immeuble aux statues

3 rue Soufflot 75005 Paris - Immeuble aux statues

3 rue Soufflot 75005 Paris – Immeuble aux statues

Si avez aimé cet article, merci de voter pour ma participation aux Golden Blog Awards 2013 : http://www.golden-blog-awards.fr/blogs/paris-maman-moi.html


Classé dans:Paris (75) Tagged: architecture, façade, immeuble, personnages, restauration, sculptures, statues

L’Ancienne poissonnerie de la rue Ramey

0
0

Comment ne pas être attiré par la façade de cette ancienne poissonnerie, située à l’angle de la rue Ramey et de la rue du Baigneur.

La mosaïque a certes perdu quelques carreaux, mais les couleurs et la scène de pêche représentée attirent la curiosité.

J’ai cherché à savoir quelle était la reconversion de cet ancien commerce. Aucune indication de figurait sur la porte….

Alors en jetant un coup d’œil par la fenêtre, j’ai aperçu des œuvres qui laissent penser qu’un artiste a désormais investi les lieux…

Si avez aimé cet article, merci de voter pour ma participation aux Golden Blog Awards 2013 http://www.golden-blog-awards.fr/blogs/paris-maman-moi.html

Ancienne poissonnerie rue Ramey / Rue du Baigneur

Ancienne poissonnerie rue Ramey / Rue du Baigneur

Ancienne poissonnerie rue Ramey / Rue du Baigneur

Ancienne poissonnerie rue Ramey / Rue du Baigneur

Ancienne poissonnerie rue Ramey / Rue du Baigneur

Ancienne poissonnerie rue Ramey / Rue du Baigneur


Classé dans:Paris (75) Tagged: artiste, façade, mosaïque, pêcheur, phare, poissonnerie

Fenêtres colorées rue Orfila

Art Nouveau à Paris: détails d’un immeuble Belle époque rue d’Abbeville

0
0

L’immeuble du 14 rue d’Abbeville (75010) a été construit en 1901 par les architectes Alexandre et Édouard Autant. Il a été décoré par le céramiste Alexandre Bigot (aussi à l’origine du Ceramic Hôtel et du 29 avenue Rap).

14 rue d'Abbeville (75010)

Construit en style Art nouveau, cet immeuble de la Belle Epoque se distingue par une exubérance de fleurs et d’animaux en grès émaillés vert foncé, appliquée sur une façade en briques et pierres. A noter également la belle porte d’entrée en fer forgé de la couleur des grès émaillés.

14 rue d'Abbeville (75010)

14 rue d’Abbeville (75010)

14 rue d'Abbeville (75010)

14 rue d’Abbeville (75010)

14 rue d'Abbeville (75010)

14 rue d’Abbeville (75010)

14 rue d'Abbeville (75010)

14 rue d’Abbeville (75010)

14 rue d'Abbeville (75010)

14 rue d’Abbeville (75010)

14 rue d'Abbeville (75010)

14 rue d’Abbeville (75010)

L’immeuble est inscrit au titre des Monuments historiques le 22 avril 1986.


Classé dans:Paris, I ♥ you Tagged: Alexandre Autant, Alexandre Bigot, architecture, Art Nouveau, Édouard Autant, façade, immeuble, Monument historique

Art Nouveau à Paris : les Cariatides en pied de la rue d’Abbeville

0
0

La rue d’Abbeville est sans nul doute un emplacement privilégié pour les immeubles d’exception. En effet, l’édifice mitoyen à l’immeuble Belle époque que j’évoquais récemment mérite lui aussi toute notre attention.

Cariatides en pied 16 rue d'Abbeville 75010

Cariatides en pied 16 rue d’Abbeville 75010

Construit en 1899 par l’architecte Georges Massa, cet immeuble de rapport se situe à l’angle avec la rue du Faubourg-Poissonnière. Les sculptures en pierre, représentent des femmes, couvertes d’un voile léger, au-dessus des fenêtres des deux salles de réception du premier étage.

Cariatides en pied 16 rue d'Abbeville 75010

Cariatides en pied 16 rue d’Abbeville 75010

Cariatides en pied 16 rue d'Abbeville 75010

Cariatides en pied 16 rue d’Abbeville 75010

Superbes, non ?


Classé dans:Paris, I ♥ you Tagged: architecture, Art Nouveau, Cariatides, façade, Georges Massa, immeuble, Paris

Les deux cadrans de l’Église Saint-Vincent-de-Paul

0
0

Entre les larges escaliers, les rampes et les jardins, on peut dire que l’Eglise Saint Vincent de Paul domine la rue de Belzunce et la Pace Place Franz Liszt.

Oeuvre de l’architecte, Hittorf, elle est notamment célèbre pour les plaques de laves émaillées qui décorent sa façade.

Saint-Vincent-de-Paul

Saint-Vincent-de-Paul

Saint-Vincent-de-Paul

Saint-Vincent-de-Paul

Saint-Vincent-de-Paul

Saint-Vincent-de-Paul

Saint-Vincent-de-Paul

Saint-Vincent-de-Paul

De 1846 à 1860, Pierre-Jules Jollivet (1803-1871), élève de Gros, décore la façade de Saint-Vincent de Paul de plaques de laves émaillées qui lui avaient été commandées à la demande d’Hittorff, l’architecte de l’église. Ce dernier pensait ainsi illustrer dans son église ses propres théories sur l’architecture colorée chez les Anciens. L’invention de la peinture en émail revenait à Mortelèque et Hachette, et favorisée par le préfet Chabrol comte de Volvic qui y voyait entre autres un moyen d’aider l’industrie de son Auvergne natale. (…)

Ces six tableaux furent mis en place vers mars 1860 et firent immédiatement scandales. « Un prêtre, raconte Jollivet, du haut de la chaire avait dénoncé aux fidèles l’immodestie des sujets représentés par l’artiste ; les mères devaient défendre à leurs filles de lever les regards sur la face de la maison du Seigneur polluée par les images de la création, de la faute et du châtiment de nos premiers parents et par celle du Christ qui, dépouillé d’une partie de ses vêtements, recevait le baptême dans les eaux du Jourdain ». Devant l’ampleur des protestations et la pression du clergé, la dépose de ces plaques fut décidée par Haussmann en 1861. Jollivet se sentit incompris. Il attribua à juste raison l’enlèvement de son décor à l’hypocrisie du clergé et au refus de toute nouveauté de la part du public. (…)

Pendant plus d’un siècle, cet immense décor de façade allait rester dans les dépôts de la Ville de Paris sans que personne ne s’en soucie. Il faut attendre 138 ans pour les faire sortir de l’oubli. C’est en effet en 1998 que la Ville prit l’heureuse initiative d’en restaurer quelques-unes et de les exposer au Musée de la Vie romantique. Source : Paroisse Saint Vincent de Paul

Cependant, c’est la présence de deux cadrans qui m’a interpellée. Si l’un est clairement une horloge, j’ignore à quoi correspond le second. Un cadran solaire ? Si c’est le cas, je n’en connaissais pas de similaire…

Saint-Vincent-de-Paul

Saint-Vincent-de-Paul

Saint-Vincent-de-Paul

Saint-Vincent-de-Paul

Edit du 18/08/2014 à 23h22

Un lecteur Twitter sur Twitter m’informe qu’il s’agit d’un calendrier qui indique le jour du mois. Et je confirme que la date indiqué correspond ! Merci @TotoroInParis


Classé dans:Paris, I ♥ you Tagged: architecture, Église Saint-Vincent-de-Paul, cadran, façade, Hittorf, plaques de laves émaillées

Des Cariatides engaînées boulevard Saint Germain

0
0

Je n’ai récupéré aucune information sur cet édifice du 21 boulevard Saint Germain (75005), si ce n’est la découverte de l’expression "cariatides engaînées", dont je devine le sens au regard de la disposition des sculptures. Le résultat est somptueux.

Cariatides engaînées 21 boulevard Saint Germain 75005

Cariatides engaînées 21 boulevard Saint Germain 75005

Cariatides engaînées 21 boulevard Saint Germain 75005

Cariatides engaînées 21 boulevard Saint Germain 75005

Cariatides engaînées 21 boulevard Saint Germain 75005

Cariatides engaînées 21 boulevard Saint Germain 75005

Cariatides engaînées 21 boulevard Saint Germain 75005

Cariatides engaînées 21 boulevard Saint Germain 75005

Cariatides engaînées 21 boulevard Saint Germain 75005

Cariatides engaînées 21 boulevard Saint Germain 75005

On doit également à l"architecte, Jean-Marie Boussard, les immeubles Art Nouveau des 76 avenue Mozart et 6 rue Jasmin dans le 16e.


Classé dans:Paris, I ♥ you Tagged: architecture, Cariatides, façade, immeuble, Jean Marie Boussard

Art Nouveau à Paris : La Maison des Arums

0
0

Tel un bouquet qui aurait fleuri au 33 rue du Champs-de-Mars, cet édifice Art Nouveau surprend dans cette petite rue calme d’un quartier cosu.

Art Nouveau à Paris : La Maison des Arums, 33 rue du Champ de Mars

Art Nouveau à Paris : La Maison des Arums, 33 rue du Champ de Mars

Construit vers 1900 par l’architecte Octave Raquin il abritait un collège privé, le cours des demoiselles Longuet. Il a ensuite reçu les élèves du Cours Alfred-de-Musset, et serait aujourd’hui une clinique avec des appartements d’habitation.

Art Nouveau à Paris : La Maison des Arums, 33 rue du Champ de Mars

Art Nouveau à Paris : La Maison des Arums, 33 rue du Champ de Mars

Art Nouveau à Paris : La Maison des Arums, 33 rue du Champ de Mars

Art Nouveau à Paris : La Maison des Arums, 33 rue du Champ de Mars

Art Nouveau à Paris : La Maison des Arums, 33 rue du Champ de Mars

Art Nouveau à Paris : La Maison des Arums, 33 rue du Champ de Mars

Primé au concours de façades de la Ville de Paris en 1902, le décor s’inspire du monde végétal. On trouve des lianes ou des tiges qui montent pour servir de consoles aux grands balcons couvrant les loggias du 4ème étage. Elles retombent ensuite comme des bouts de branches.

Sources : Paris le nez en l’air, Patryst


Classé dans:Paris, I ♥ you Tagged: architecture, Art Nouveau, Arums, bouquet, façade, fleurs, immeuble, Octave Raquin, Paris

Au Gagne Petit

0
0

L’avenue de l’Opéra me réserve encore bien des surprises… Tandis que je croyais la connaître dans toute sa longueur,  je viens de faire une découverte incroyable au numéro 21-23.

Au Gagne Petit

Au Gagne Petit

Cet immeuble est celui de l’ancien grand magasin Au Gagne Petit (dont je n’avais jamais entendu parlé), édifié par l’architecte Auguste Tronquois en 1876-77.

Comme en atteste la photo ci-dessous, il y existait autrefois une marquise extrêmement saillante, qui aurait été démolie dans les années 30, et remplacée par un auvent plus neutre.

Au Gagne Petit

Au Gagne Petit avec la marquise

Le logo de cet ancien établissement représente un bas-relief inspiré de la peinture Le Rémouleur, de David Téniers (conservée au Musée du Louvre). Inspiré, seulement, car si le bas-relief reprend l’essentiel de l’œuvre de Téniers (le rémouleur et son banc caractéristique), il lui applique une symétrie horizontale. L’arrière plan est, quant à lui, lui totalement recomposé.

Au Gagne Petit

Au Gagne Petit

Au Gagne Petit

La façade est inscrite aux Monuments historiques depuis le 22 mars 1983.

Sources : Commission du vieux Paris et Les Rémouleurs


Classé dans:Paris, I ♥ you Tagged: Au Gagne Petit, façade, grand magasin, immeuble, Monument historique, Paris, rémouleur

Place Franz Liszt

0
0

La place Franz-Liszt a été ouverte en 1822. Elle reçut en 1825 le nom de Charles X, remplacé en 1830 par celui de La Fayette, puis Bossuet en 1842, et à nouveau La Fayette (en raison de la rue du même nom qui la traverse). Elle fut finalement baptisée place Franz Liszt en 1962 en l’honneur du célèbre compositeur.

Place Franz Liszt

Place Franz Liszt

Elle est dominée par l’église Saint-Vincent-de-Paul, construite par Jean-Baptiste Lepère et Jacques Hittorff entre 1824 et 1844.

Saint-Vincent-de-Paul

Saint-Vincent-de-Paul

La place est un ensemble réalisé par l’architecte Achille Leclère sous la Restauration. Face à l’église Saint-Vincent-de-Paul, on peut observer des immeubles classiques qui se suivent (du 1 au 7 inclus). Seul le 6, manufacture de pianos datant de 1850 (devenue Caisse d’Épargne et remanié), rompt cette unité par sa protubérance et son décor.

Voici une façade que j’affectionne particulièrement…

Place Franz Liszt

Place Franz Liszt

Place Franz Liszt

Place Franz Liszt

Place Franz Liszt

Place Franz Liszt

Et un appartement qui me fait rêver depuis des années…

Place Franz Liszt

Place Franz Liszt

Place Franz Liszt

Place Franz Liszt

Cette place a été croquée par le célèbre auteur de bandes dessinées, Jacques Tardi.

Source : Wikipedia.


Classé dans:Paris, I ♥ you Tagged: Achille Leclère, Église Saint-Vincent-de-Paul, façade, immeubles, Paris, Place Franz Liszt, restauration

Oiseaux d’architecture rue Lafayette

0
0

Je n’ai pas réalisé d’étude scientifique sur le sujet, mais il me semble que dans le bestiaire architectural parisien, les lions et les éléphants sont les animaux les plus représentés.

Moins fréquentes, les reproductions d’oiseaux se révèlent parfois charmantes, à l’instar de celle qui orne la façade du 139 rue Lafayette.

139 Rue Lafayette 75010

139 Rue Lafayette 75010

Quelques recherches m’ont permis d’apprendre que l’oiseau symbolise la famille et la protection, notamment lorsque ceux-ci sont représentés dans leur nid. Cela me donne des idées de nouvelle bannière pour le blog…

139 Rue Lafayette 75010

139 Rue Lafayette 75010

139 Rue Lafayette 75010

139 Rue Lafayette 75010

139 Rue Lafayette 75010

139 Rue Lafayette 75010


Classé dans:Paris, I ♥ you Tagged: architecture, façade, famille, nid, oiseaux, rue Lafayette
Viewing all 36 articles
Browse latest View live




Latest Images